A toi qui me lis

A toi qui me lis,

Pensez à vos amis quand tout devient gris

Rubinstein l’a bien compris

En jouant de ses mains

Les musique de Chopin

Un jardin au milieu de la mer

Pour seule m’y reposer 

Quand le coeur bat trop vite 

Dans la nuit pousse un cri

Debussy mon cher et tendre

La main. Vient me prendre

J’ose espérer me réinventer

Naître Joie pour t’embrasser

Chaque jour un parfum une note

Entre la noire ou la blanche

Je saisis celle à deux temps

Pour Un seul Amour 

Mon silence éternellement 

Anna-Rita Torelli

le 13 juillet 2017 à 2h25 am